je te regarde dans la lumière nue
ta beauté dans l’éphémère soleil
ta beauté qui fait trembler les oiseaux
ta peau d’épices ruche d’abondance
ta peau de moissons, promesse chaude, ma faiblesse
tes deux bras
qui s’ouvrent et me désaltèrent
tes grands bras
sésame et miel des matins trop clairs
tes yeux de houle frontière frémissante de mon corps
tes yeux de houle à la candeur de première aurore
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