Mont a ra war-raok, laouen on : un dek pajennad bennak zo evit poent. Met cheñch a raio kalzig c'hoazh... Pokoù ha kalon vat dit evit da destennoù-dit ;-)
On sent la lente progression de la nuit, de l'ombre, du noir, et la chute (provisoire) du poème exprime bien la chute de tonus, de moral qui s'installe souvent avec le miz du, avec le manque de soleil, de lumière : cherchons la dans la poésie. Oui, continue ! Ma mère disait : « tout ce qui est dehors n'est pas dedans » et exprimer ce qui peut sourdre en nous est une richesse pour les autres. Continue, pour qu'on puisse te dire merci d'écrire.
Maryvonne, merci beaucoup de t'être arrêtée sur mon blog, et merci pour tes encouragements ! Ce texte n'est pas loin d'être fini, mais malheureusement je n'ai plus le temps ni l'énergie d'écrire :( J'espère m'y remettre au printemps... et célébrer ainsi le retour de la lumière !
Mall eo din lenn pelloc'h! Kalon vat, ret eo kenderc'hel...
RépondreSupprimerMont a ra war-raok, laouen on : un dek pajennad bennak zo evit poent. Met cheñch a raio kalzig c'hoazh... Pokoù ha kalon vat dit evit da destennoù-dit ;-)
RépondreSupprimerOn sent la lente progression de la nuit, de l'ombre, du noir, et la chute
RépondreSupprimer(provisoire) du poème exprime bien la chute de tonus, de moral qui s'installe souvent avec le miz du, avec le manque de soleil, de lumière : cherchons la dans la poésie.
Oui, continue !
Ma mère disait : « tout ce qui est dehors n'est pas dedans » et exprimer ce qui peut sourdre en nous est une richesse pour les autres. Continue, pour qu'on puisse te dire merci d'écrire.
Maryvonne, merci beaucoup de t'être arrêtée sur mon blog, et merci pour tes encouragements ! Ce texte n'est pas loin d'être fini, mais malheureusement je n'ai plus le temps ni l'énergie d'écrire :( J'espère m'y remettre au printemps... et célébrer ainsi le retour de la lumière !
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