Roi de terre et de pollen
des vallées du rêve
il revient force intacte,
et dans mon dos me donne
la chaleur de ses bras immortels.
Certain soir d’été sur une terrasse
aux heures ambigües
où le basilic embaume
les frissons bien gardés,
ces mêmes bras terre et feu
avaient fait le tour du monde
pour m’en ramener
des pommes d’or et des secrets.
Dans sa violente présence,
pour un instant
ne pas être de passage,
dissoute dans le vrai de ma peau en fusion
par ses mains de silence.
Lo me gusta mucho.
RépondreSupprimerSouezhus ha kreñv, brav avat en un doare dreistordinal, un tamm... Un oberenn a-feson, lusk e-barzh, an heklev o padout...
Souezhus e vez atav eñvorennoù an huñvre hag ar c'hroc'hen, deuet da wir a-daol-trumm abalamour d'ur son, d'ur sklêrijenn pe d'ur barrad avel...
RépondreSupprimerTrugarez vras dimezell evit da c'herioù jentil !